L’ascenseur nous mène
au cinquième étage. Après quelques mois d’arrêt, je vais renouer avec le
plaisir de la chimiothérapie. L’accueil est chaleureux, les infirmières me
reconnaissent, mais derrière leurs sourires, elles doivent penser, “le cauchemar
est de retour ! toujours pas de chambre implantable.”
Comme tout le monde, j’ai été élevée dans la peur de cette
maladie. Au fil du temps, elle a touché des personnes plus ou moins proches.
Certaines en mourant jeunes. Dans l’imaginaire collectif, le cancer, c’est la
menace suprême.
Avant de rejoindre la salle de shoot, je suis passé par la
case oncologue. Là, l’accueil est plutôt “frisquet”. Possible que l’intervention
de ma généraliste ait déplu à ce monsieur. Il établit sa prescription sans un
mot, sans explication, ni même le nom du produit.
Je me lance sur le problème de PSA. Je développe en
précisant bien que l’hormonothérapie ne fonctionne plus, est-il nécessaire de
continuer avec ce produit ? Qu’elles sont les alternatives ?
Réponse : “Quel est votre problème avec cette
injection, vous l’avez à vie !” Point final, la discussion est close, le ton
employé ne laisse pas de place au débat. Je suis dépité, et ce matin je n’ai
pas l’esprit combattant, je laisse tomber.
La menace suprême, elle
charrie une telle part de fantasme qu’elle en constitue un monde à part,
maintenu à distance par les bien-portants. Le cancer, il continue de nous
échapper, ses causes profondes ? Elles demeurent mystérieuses. Le corps médical
se protège des questions embarrassantes, particulièrement quand sont atteintes les
limites de la connaissance. Le patient est souvent désorienté, sans réponse
claire, difficile d’être acteur de sa maladie, vous êtes otage de la toute-puissance
de la médecine et de ses représentants.
Avec le cancer, on passe brusquement de l’autre côté de la
force. . . De spécialiste en spécialiste, de chimio en chimio, injections,
comprimés, produits divers pour lutter contre les effets pervers du traitement...
vous glissez lentement, emporté par ce tourbillon où vous n’existez que comme
un numéro de dossier, tout vous échappe... on est bien peu de chose...
Me voici installé dans la salle “Pomerol”, mais le produit
qui coule dans mes veines a une couleur bien singulière. D’un bleu intense ! C’est
beau, j’aime cette couleur. Je me dis que je viens peut être de découvrir le
secret de la noblesse, le sang bleu ! à moins que comme dans le film de James
Cameron, “Avatar”, je ne me transforme en “Na' vi”... laissons faire la
nature !
Si on ne guérit pas des métastases, il y a eu de réels
progrès du côté des traitements. On peut vivre avec de plus en plus longtemps,
et surtout avec une bonne qualité de vie. Les métastases répondent généralement
bien à l’hormonothérapie.
Le problème, c’est que dans un cas sur deux environ, le
patient développe une résistance et le cancer repart, c’est mon cas. D’autres
traitements prennent alors le relais, comme de nouveaux anti-androgènes ou une
chimiothérapie. La recherche avance, mais beaucoup de traitements sont encore
en phase expérimentale.
Mais à force de
tenter d’améliorer la bougie, on va bien finir par découvrir l’ampoule !
Un monde à part que ce monde du cancer. Je continue à en découvrir
les multiples facettes. Dans trois semaines, nouvelle séance de chimio. Je vais
devoir attendre pour en connaître l’efficacité, ou non. Ce jour-là, je vais
rencontrer un remplaçant de mon oncologue. Je compte en profiter pour revenir
sur mon problème de PSA.
Je passe le temps comme je peux. Le moral est maintenu à coup d’antidépresseur.
Le soleil me manque, la période hivernale est vraiment difficile à traverser...
Bien que la thérapie soit devenue plus tolérable et qu'une fois que les tables de CDF quotidiennes aient facilité l'adhésion au traitement prescrit, elle exige toujours que les patients prennent leurs médicaments régulièrement pour obtenir une suppression virale soutenue. Lorsque l'observance du traitement est inadéquate et que la réplication n'est donc pas supprimée, mais dr itua a promis et a tenu sa promesse en me disant que je partagerai son travail avec les personnes souffrant d'infertilité, d'herpès, de cancer du col de l'utérus, de cancer des os, de cancer du cerveau, de la prostate Cancer, leucémie, tumeur cérébrale, cancer du sein, cancer du sang, cancer du rein, hépatite A/B, fibrome, VIH/sida, maladie d'Alzheimer, arthrite, BPCO, diabète, inflammation du foie/rein, glaucome, cataracte, dégénérescence maculaire, Maladie cardiovasculaire, maladie pulmonaire. hypertrophie de la prostate, ostéoporose. maladie d'Alzheimer, VPH,
RépondreSupprimerDémence. Fibromyalgie, maladie de Parkinson, j'ai lu beaucoup de témoignages en ligne de Jesus McKinney,Achima Abelard et Tara Omar sur la façon dont dr itua les guérit avec sa phytothérapie. Je l'ai contacté par e-mail drituaherbalcenter@gmail.com. puis nous parlons sur WhatsApp +2348149277967 il m'a donné des instructions sur la façon de le boire pendant deux semaines puis après l'avoir bu pendant deux semaines je suis allé faire un test puis j'ai découvert que j'étais guéri du VIH et du VPH, je le remercie, je lui envoie aussi un peu d'argent pour l'appréciation, contactez ce grand médecin de fines herbes si vous êtes une personne malade.